Chantal Nève-Hanquet, Christine Vander Borght
« Dorénavant, quand j’entre dans une
famille, une école, un parlement ou une église, je me rebelle. Je sais dans
quelle réalité distordue chacun vit. Je veux remplacer tout cela par un nouvel
ordre, celui que les enfants ont connu quand on les a laissés vivre, inventer.
Derrière les histoires que je raconte aux enfants, derrière les jeux que l’on
invente ensemble se cache une profonde révolution. Celle du psychodrame et de la
créativité. » (Autobiography, 2.35) [1]