Christine
Vander Borght[1]
Résumé : Les institutions de soins
et d’éducation, comme n’importe quel groupe humain organisé, sont sujettes à
des maladies et doivent se donner les moyens de se soigner. L’espace de
supervision peut en être un, qu’il soit préventif ou curatif. Nous chercherons
à comprendre ce qui constitue la spécificité d’un tel espace/temps, et à
préciser quelques manières de faire pour poser la mise en place d’un cadre de
travail défini comme une « matrice d’empathie ». L’espace de
supervision doit pouvoir soutenir un processus d’intelligence collective.
Mots-clés
Souffrance au travail – Institutions – Supervision –
Coopération – Intelligence collective
in Cahiers critiques de thérapie familiale et de pratiques de réseaux,
n°5 0, 2013.